PREISSING Werner - Le Manoir du Cleuyou, die Geschichte eines Bauwerkes
Un article de GrandTerrier.
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[modifier] Notice bibliographique
|  Les propriétaires du manoir du Cleuyou depuis 2008, à savoir Ursula Bertram et Werner Preißing, ont édité un magnifique livre de 228 pages sur l’histoire et la description de leur manoir ancestral. Le livre est écrit dans leur langue natale et s’intitule « Le manoir du cleuyou - Die Geschichte eines Bauwerkes in der Basse Bretagne - Römerstation - Festungsanlage - Manoir - Schloss ». Un ouvrage riche de descriptions archéologiques et architecturales, de croquis et de plans, de photographies, de documents d’archives et cartographiques, d’histoires et de souvenirs. C’est l’occasion de saluer la restauration très réussie d’un château qui menaçait ruines et qui peut désormais accueillir artistes et amoureux des pierres. | |||||
Autres lectures : « PREISSING Werner - Le Manoir du Cleuyou, l'histoire d'un bâtiment » ¤ « ROGEL Christian - Le manoir du Cleuyou en Ergué-Gabéric » ¤ « Le manoir du Cleuziou/Cleuyou » ¤ « Les moulins du manoir du Cleuyou » ¤ « Les archives du Cleuziou » ¤ « LACHAUD Jacques & LEGRAND René - Travaux d'architecture » ¤ « Souvenirs des fermes en activité au Rouillen, par Youenn Quillec » ¤ « Les mystères de la porte du Cleuyou et du rituel maçonnique de Quimper » ¤
Le livre est publié en langue française en avril 2013 avec le sous-titre « L'histoire d'un bâtiment en Basse-Bretagne. Station romaine, fortification, manoir, château ». Ci-après un extrait de l’introduction et sa traduction en français qui présente la démarche du livre et son contenu.
| Texte original : | Traduction de Pierre Pion : | |
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Geschichte ist « Geschichten erzählen ». Und so soll die Geschichte des Manoir du Cleuyou eine Geschichte sein, erzählt auf der Basis verfügbarer Quellen, aus den »Archives Départementales du Finistère«, dem »Musée Breton«, den »Archives de l`Èvêché«, der »Médiathèque des Ursulines«, aus alten Verkaufsurkunden und »aveux«, den Erzählungen von Marie Le Guay, den Inschriften auf den Gräbern des Friedhofes in Ergué-Gabéric, aus Internet und Literatur, aus alten Karten, der »carte Cassini«, der »carte de la Hubaudière«, insbesondere aber der »carte Napoléon«, dem Katasterplan des Gebietes von Ergué-Gabéric aus dem Jahre 1834. Seit 2008 sind wir Mitglieder der SAF (Société Archéologique du Finistère) und nehmen, soweit zeitlich möglich, an den regelmäßigen Sitzungen und Veranstaltungen teil. Besonders aber erzählen die Steine Geschichten, alle Steine, die man heute auf dem Gelände des Manoirs vorfindet, und die Konstruktion der verschiedenen, noch heute vorhandenen Gebäudeteile. Manchmal, des Nachts hört man ganz nahe, im Park des Schlösschens den Ruf einer weißen Eule. Sie sitzt irgendwo auf einem der hohen Bäume, beobachtet uns und antwortet gnädig auf unsere primitiven Imitationen des Eulenrufes. Im Teil A der vorliegenden Ausarbeitung wird die Geschichte des Manoir du Cleuyou skizzenhaft beschrieben, beginnend mit einer Theorie der Nutzung durch Kelten und Römer, sowie später durch die Lehensherren des 13.–16. Jahrhunderts. Die weitere Nutzung reicht vom Wohndomizil der gut-bürgerlichen Familie bis zum heutigen Zustand als Werk- und Aufenthaltsstätte für Künstler und sonstige kreative Menschen aus allen Disziplinen. Im Teil B sind die bisherigen Untersuchungsergebnisse und der Zwischenstand von Recherchen dokumentiert. Dieser Teil erhebt keinerlei Anspruch auf Vollständigkeit, im Gegenteil. Die archivarische Zusammenstellung ist gedacht zum Weiterforschen, Recherchieren und möchte andere dazu anregen, mitzumachen, mitzusuchen, Fragen aufzuwerfen und vielleicht auch einige zu beantworten. |
L'histoire c'est « conter des histoires ». Ainsi l'histoire du manoir du Cleuyou doit être une histoire racontée à partir des sources existantes, provenant des Archives Départementales du Finistère, du Musée Breton, des Archives de l'Evêché, de la Médiathèque des Ursulines, d’anciens actes de vente et d' « aveux », des récits de Marie Le Guay, d'Internet, de livres divers, d’anciennes cartes, de la Carte de Cassini, de la Carte de La Hubaudière et tout particulièrement du Cadastre Napoléonien d’Ergué-Gabéric datant de 1834. Nous sommes membres de la SAF (Société Archéologique du Finistère) depuis 2008 et participons, autant que faire se peut, aux manifestations qu’elle organise. Mais ce sont surtout les pierres qui content des histoires, toutes les pierres que l’on peut trouver sur le domaine ainsi que celles des différentes parties du bâtiment qui existent encore. Parfois, la nuit, on entend dans le parc du château, le cri tout proche d’une chouette. Elle est perchée quelque part sur un des grands arbres, elle nous observe et répond poliment à nos imitations primitives de son cri. La partie A de cet ouvrage est une esquisse de l’histoire du manoir. Elle commence par la théorie de l’occupation de l’endroit par les Celtes et les Romains, suivis par les suzerains du 13e au 16e siècle, puis de l’utilisation comme domicile par les familles de la bourgeoisie aisée. Aujourd’hui enfin le manoir sert de lieu de travail et de séjour à des artistes et créateurs de toutes les disciplines. La partie B présente le bilan actuel et provisoire des différentes recherches. Cette partie n’a pas la prétention d’être complète, bien au contraire. L’agencement de la présentation des documents est conçu pour favoriser la poursuite des recherches, des enquêtes et voudrait inciter d’autres personnes à y participer, à lancer des interrogations et peut-être apporter des éléments de réponses à d’autres questions |
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Thème de l'article : Fiche bibliographique d'un livre ou article couvrant un aspect du passé d'Ergué-Gabéric Date de création : Juillet 2011 Dernière modification : 13.06.2015 Avancement : |